Chronique 97 : Shining de Stephen King
Résumé: Jack Torrance, ancien prof de lettres alcoolique, entreprend l’écriture d’une pièce de théâtre. Pour subvenir aux besoins de sa famille, sa femme Wendy et son petit garçon Danny, il va garder un palace durant tout l’hiver. La famille est coupée de tout pendant plusieurs mois. L’hôtel semble habité par plusieurs âmes ayant vécues des événements violents. Est-ce que tout cela se passe dans leur tête ? Ou se déroule-t-il un drame fantastique? Mon avis: Longtemps effrayée par la nullité du film de Kubrick, je n’avais pas envie de lire le roman. Mais King est un génie qui ne cesse de me surprendre et « Shining » reste un classique. J’ai bien fait de m’écouter et d’être tentée de lui laisser une chance par une accroche d’Edgar Allan Poe. « Shining » oscille entre le fantastique et les drames sociaux. Le petit Danny a le Don, il voit l’avenir, il parle aux morts, il est télépathe. Mais qu’en est-il de son père Jack? Est-il fou? Ou s’est-il simplement enfermé dans l’alcoolisme pro